Les tribulations d'un éveillé N°18

Bonjour mes chers cœurs d'amour, vous qui marchez dans votre splendide lumière.

La nouvelle Lune de Janvier 2014 se dessine dans le ciel constellé d'étoiles. Il y a tellement de vent que nul nuage n'a voulu rester à la fête. C'est la fête des élémentaux çà swingue dans les arbres... :0)

Il y a comme au moins deux temps ou plutôt deux espace-temps en moi c'est troublant j'ai l'impression de me déplacer comme les zozos en apesanteur dans leur gros scaphandre.

Lorsque j'appuie mon attention dans une direction je me rends compte que je suis dans la matière en train de faire des trucs banals. Lorsque mon intention passe le SAS me voilà à capter des sensations, des lumières ici & là et si je switche rapidement il n'y a qu'un platane ou un abri bus qui s'offre à ma vue. Allez y comprendre quelque chose moi je passe mon temps à ressentir des trucs comme cela, je me compare à un poste de radio (même pas une chaine hifi!!!) qui selon l'orientation de son antenne capte des émissions diverses...

L'envie d'écrire ce soir s'impose avec amour et délectation. J'ai compris que la lumière se joue de tout et de nous et que si l'envie me prend de faire de mon quotidien un paysage de Noël permanent alors pourquoi pas c'est à moi de vivre en mon cœur une telle réalité...

Il me revient une scène de Matrix en mémoire, celle de la pilule bleue dans la main gauche et dans la main droite de Morphéus la rouge . La bleue renvoie au train-train quotidien cet enfermement des sens et des sensations... La rouge ouvre les yeux sur la réalité, mais quelle réalité...!!!! Celle d'Alice et du Lapin blanc, laquelle Néo va t'elle choisir … Rappelez-vous au début de la scène celle qui sera la Loove de notre Héros (Trinity) le met en garde «....soit honnête....».

Alors moi aussi je veux être honnête, avec moi, avec mon Âme, avec la lumière, avec le Divin, avec mes voisins, avec les plantes et et stop je m'emballe !!!! Tout ne va pas aussi vite que dans mon univers, alors je regarde autour de moi et je me tais. Je me tais pour ne pas être remarqué par ceux et celles qui ont pris la petite pilule bleue, mes frères et sœurs dans leur simple & apparent bonheur....

Cela se bouscule en moi il y comme une urgence, les énergies de ce début d'année me pousse à devoir choisir. Oui faire des choix mais pas n'importe lesquels, je me dois de couper les restes de cordons ombilicaux. Des machins comme des queues de casserole qui pèsent et m'alourdissent sur mon chemin d'éveil.

«...Il n'est plus temps d'être timoré»; me souffle mon Âme. «...De simple spectateur tu dois soit quitter le théâtre soit intégrer la pièce qui s'y joue, c'est un choix que tu dois faire en toi mon aimé...».

Ai-je vraiment le choix quand les synchronicités m'amènent à percevoir presque de façon palpable ce qui se cache derrière le grand rideau rouge de ma vie d'homme incarné...

J'aimerai libérer ton esprit mais je ne peux que te monter la porte c'est à toi de la franchir. C'est ainsi que Morphéus conclut la scène du combat d'arts martiaux entre lui et Néo....

Cela fait réfléchir... Alors je me pose et fais le silence en moi, je baisse le volume de mon mental et laisse venir à moi les couleurs, les informations que seul mon cœur sera à même de ressentir dans leur justesse, seule certitude, pour moi, afin de ne pas me tromper avec une quelconque invention de mon cru. Être le plus juste possible. La fierté de me tenir en homme libre, libéré, droit dans ses bottes.

J'ai à vivre et à rayonner au quotidien mon état d'être éveillé. Comme je l'ai déjà écrit nous nous devons d'afficher cet état à la face du monde, imposer nos sourires et nos cœurs d'amour au grand jour comme on nous impose le JT de 20 heures chaque jour...

Cela amènera une prise de conscience que je souhaite universelle à la vitesse de chacun et de chacune bien entendu...Cela servira Gaïa magistralement de cela j'en suis sur et certain...

pour ce soir j'en resterai là je pense... Qu'as-tu à dire mon Âme ?

«… N'oublie pas tes frères et sœurs dans la tourmente. Deviens un phare pour eux...»

Merci mon Âme merci de tout mon cœur...

Je vous laisse, mes frères et sœurs.

Amour et joie en nos cœurs,

Philippe

Les tribulations d'un éveillé N°17

Bonsoir frères et sœurs dans la lumière.

….C'est par un long silence que je vais commencer ce texte....

J'avais dis que ce Noël ne serait pas comme les autres, en effet je m'en suis pris plein la figure!!! Quel jeu de dupe! Je ne cautionne plus cet artifice de bonheur qui a totalement perdu de son sens sacré...

Il serait peut-être bon de rappeler le sens profond de cet événement non?...

Pour moi Noël nous renvoie à la réunion des membres de la famille, au partage entre-tous, au bonheur d'échanger, à la joie de partager, et de réaliser le rêve de chacun et ainsi voir un immense sourire fleurir sur les visages.

J'ai mis à l'index le côté religieux volontairement. A bas les égrégores !!!

J'ai donc joué un rôle ou je n'avais qu'une envie, fuir cette situation ou bien crier mon ras le bol à ce jeu de dupe... J'ai donc pris sur moi, peu parlé, peu mangé et peu partagé. Au final je me suis beaucoup bridé, totalement interdit d'exprimer clairement ce qui me bloquait la respiration.

Je ne suis pas en guerre avec moi-même car je comprend qu'il me reste des choses à «péter» dans mon conditionnement, mais je ne suis pas en paix non plus. Ah je souris...

Mon Âme me souffle : «enfin un sourire, tu es trop dur avec toi-même...Apprends mon amour, à te donner du temps, tu as tout ton temps. Ne crois pas qu'il y ai un 1er et un dernier de la classe, car nulle partie ne se joue ici et maintenant...Mon Ange tu es de toute éternité, commençant tout juste à t'éveiller à ton êtreté, je trouve que tu avances déjà à grands pas alors sois ouvert à ta propre dualité, accepte & accueille ce qui t'arrive ce n'est que de l'amour...».

Je respire mieux cet après-midi, car je comprend que je peux vivre des situations gênantes, voir contraires à mes principes avec un certain détachement mais cela n'est pas encore gagné!!!!

Je ne me vois pas comme un sage faisant ZAZEN dans la tourmente environnante...

Bizarrement cette soirée de Noël m'a renvoyé côté famille vers toutes les faussetés à savoir on fait la fête mais on oublie d'inviter le grand-père âgé de 80 ans on n'invite pas non plus une sœur qui habite à environ 50 Km. C'est cela qui m'a mis mal à l'aise. Avant mon éveil je m'en serais accommodé facilement mais maintenant c'est juste plus possible.

Au final simplement avec deux phrases courtes j'ai pu ce matin glisser un message à qui de droit sur le fait que ce père seul âgé de 80 ans ne verrait peut-être plus d'autre Noël et que serait pas mal d'aller lui rendre une petite visite au nouvel An avec ses petits-enfants....Maintenant que j'ai dis ce que j'avais à dire, je suis mieux, plus apaisé car j'ai dit doucement ce qui me gênais au plus au point et cela sans m'imposer... Je laisse le choix final à chacun...

Chacun, chacune avance sur son chemin d'éveil et fait ses expériences avec ses outils du moment, c'est vrai qu'il n'y a nulle compétition, et je comprend mieux cette phrase : «les premiers seront les derniers...»

Il n'y aura plus de Noël, il est tant que les masques tombent. Je veux, je souhaite ardemment qu'il n'y ai qu'une fête officielle, celle de l'ouverture du Cœur.

Que l'on fête les Solstices oui, que l'on chante et danse lorsque le Printemps revient oui.

Que l'on honore nos anciens autant que les nouveaux-nés oui, et surtout que l'on apprenne à fêter la vie à chaque instant en nos cœurs, cela pourrait être mes résolutions pour toutes les années à venir, le challenge en est sympa.

Il nous appartient, à nous les éveillés (es), de porter haut en couleurs notre état multidimensionnel. Entre-nous nous nous reconnaissons assez facilement c'est une question de vibrations mais entre-nous et notre voisin??? En grattant un peu je suis sur que l'on découvrirait qu'il n'est pas si éloigné que cela de nos propres questionnements...

Je pense très sincèrement que nous allons devoir rapidement changer nos modes vestimentaires, afficher notre état d'être de façon souveraine sans peurs de l'autre de son jugement sans quoi nous allons nous brider, nous contraindre à jouer un rôle sociétal, familial et donc entretenir un égrégore de plus...A bas les égrégores !!!

Je suis convaincu que l'on peut affirmer notre identité et exercer nos talents dans nos sociétés le cœur ouvert sans se transformer en moine, ou en bonne-sœur...En étant «bon» & «juste» dans notre tête et nos actions.

Mon Âme rigole....

Je vous laisse, mes frères et sœurs, recevez mes pensées d'amour.

Amour et joie en nos cœurs,

Philippe

Les tribulations d’un éveillé N°16

Bonjour frères et sœurs dans la lumière.

On me dit de me protéger. Que je dois faire attention. Que je ne dois pas m’exposer…

Soit, mais que devrais-je craindre?

Il y a des forces et des gens mal intentionnés qui pourraient te vouloir du mal…Te dépouiller de ton innocence....

Brrr et dans quel but?

T’égarer, te faire douter, te détourner de ton chemin….

Ah si je comprends bien on est en train de parler de la matrice astrale dans laquelle nous étions coincés, prisonniers depuis des éons?....Et qui n’a plus d’existence propre en ces temps d’éveil et de reconnexion à la Lumière.

Ainsi j’entends votre désir de bien faire mais voyez-vous en procédant de la sorte vous entretenez une forme pensée de type parasite, un égrégore issu de ces temps troubles de désillusions et de peurs entretenues. Lâchez cela, c’est un reste de notre conditionnement que vous brandissez au-dessus de nos têtes. Cela n’est plus ma réalité…

Venez voir à quoi peut ressembler mon univers aujourd'hui, je vous invite à y pénétrer dans l’instant.

Voyez-vous j’habite un château. Un très grand château, pourvu d’un nombre incalculable de pièces, chambres, boudoirs, bibliothèques, salons de réception. Il s’y enchevêtre des dizaines d’escaliers. Pas une pièce n’est décorée à l’identique de la suivante. Je ne me lasse jamais d’en parcourir les corridors.

Il y a quelques particularités dans ma demeure, vous n’y trouverez aucune serrure, il n’est plus utile de fermer à clef les portes de toutes ces pièces somptueuses. Au demeurant c’était un peu compliqué à gérer au quotidien toutes ces clefs, en plus du poids dans les poches….

J’ai décroché tous les portraits de mes ancêtres qui trônaient siècle après siècle dans les méandres de ses couloirs, de mes mémoires. C’était devenu pesant de se sentir surveillé par ses Aïeux et jugé du haut de leurs majestueuses poses d’opérette.

J’ai pensé aussi qu’il serait plus sympa de retirer les portes et ainsi offrir à chacun, une vision des pièces réparties de part et d’autre des sombres corridors fermés à toute lumière depuis la nuit des temps.

Je pris donc plus de plaisir à flâner dans ces couloirs ou j'y surprenait dorénavant des angles de vues insoupçonnées, les couleurs chatoyantes d'un dais de dessus de lit, un coin de tapisserie et surtout des raies de lumière magique ou virevoltent des particules de poussière en suspension, mues par des courants d'air léger, si léger.....Et puis vint le temps ou une idée saugrenue germa en mon esprit vacillant...

Pourquoi tant de cloisons? Pourquoi un si grand nombre de pièces?...

Ou que portait mon regard je n'y trouvais que des murs... Les murs sont mes ennemis!!! Bon okay mais ce sont tes ancêtres qui les ont bâtis, ils y ont mis toute leur énergie, affirmant ainsi leur pouvoir...

Je me dois donc de maintenir vivante la tradition?

De quelle tradition parle-t-on????

Je passais de longues heures à ruminer cette question. Chaque corridor que j'arpentais me renvoyait à cette question, ou s'arrête la tradition, ou commence ma liberté de création?

Pour me libérer de ce questionnement envahissant, j'entrepris de me tester. Pour cela je choisis une chambre sous les combles dans la partie réservée aux domestiques et laissée à l'abandon depuis que le dernier serviteur fut partit.

Le mur mitoyen d'avec une autre chambrée me prit du temps à démolir, je dus m'y reprendre à plusieurs reprises en y versant des larmes car peu enclin aux exercices physiques je ne pouvais pas comprendre oh combien mon corps pouvait se rebeller et m'infliger ainsi des douleurs méconnues...

Je ne sais d'où me venait cette volonté de continuer mais finalement j'en vint à bout...

Les gravas déblayés je pris la mesure de l'espace dégagé qui s'offrait à ma vue. La lumière pénétrant par les petites fenêtres mettait en valeur une dimension tout autre et je me pris à respirer plus légèrement. Côté ancêtres c'était le calme plat, nulle manifestation douteuse, pas de miroir cassé, pas d'ectoplasme en vue, bref tranquille, tranquille....

Alors je fis les choses en grand, confiant à un architecte ami le soin de démolir un à un les murs devenus inutiles. Il se fit aider par des ouvriers consciencieux que je voyais à peine et qui œuvraient en toute discrétion....Enfin non pas tout à fait, ils utilisaient des masses et des marteau-piqueurs selon les murs qu'ils rencontraient et cela faisait vibrer tout le château, je perdis mes repères, mes couloirs se couvraient de poussière, je doutais de la réussite d'une telle entreprise, pendant ces moments de doute je me traitais de fou, d'insensé!!!Je perdis le sommeil en partie.

Et puis vint le temps ou cette tourmente commença à perdre en intensité, le va et vient des camions bennes se raréfia, les cris des ouvriers et les coups s'espacèrent jusqu'à finir par disparaître...

Mon ami architecte me proposa, maintenant que toutes les protections étaient retirées, de faire en sa compagnie le tour du propriétaire. Nous choisîmes pour cela une visite nocturne, par une nuit de pleine Lune pour en apprécier toute la magie.

Je m'approchais de la magnifique porte d'entrée de mon château et fut surpris de la voir s'ouvrir toute seule comme une fleur au Soleil. L'intérieur était tout illuminé mais je n'arrivais pas à identifier la source lumineuse. troublé je pénétrais dans le château il y régnait un silence majestueux et une magnifique odeur de Jasmin s'y épanouissait , autour de moi quelques piliers semblaient tenir une architecture réduite à sa plus simple expression, je levais la tête et fus étourdis de découvrir la voute céleste étoilée. Je me retournais pour féliciter mon ami architecte pour la qualité de son travail mais il n'y avait personne derrière moi, j'étais seul, et pourtant je n'en conçus aucune amertume, nul sentiment triste ne pointa son nez.... Étrange.

Maintenant je respire profondément, retenant quelques instants encore cette respiration et doucement relâche le souffle en un expir libérateur.

Je suis assis en tailleur, je termine ma méditation, là assis en tailleur sur mon lit.

Mon Âme me dis ceci : «As-tu compris le sens profond de ton rêve mon doux amour?»

Je garde les yeux fermés savourant encore un peu ce moment magique.... Si j'ai compris? J'ai le visage barré par un sourire immense. Je me suis fait baladé comme un débutant et je trouve cela terriblement drôle, je perçois mon Âme qui rigole de sa bonne blague... Alors ma main droite se porte sur mon Thymus et ainsi je referme la porte de mon château.

Ma liberté est en mon cœur, mes richesses sont en mon cœur. Il n'y a plus de portes fermées ni de cloisons en mon cœur, il n'y a aucun objet de valeur dans mon château, seul l'immensité du grand vide le remplit de sa magnificence dorée.

Ainsi se termine cette petite fable de fin d'année.

Amour et joie en nos cœurs.

Philippe

Les tribulations d’un éveillé 15

Bonsoir mes frères et sœurs dans la Lumière,

Parmi les leçons que je reçois, consciemment ou pas, il y en a une qui pour beaucoup va leur parler et pour d’autres pourra sembler être comme dépassée puisque c’est une base de notre spiritualité.

Je croise des humains dans des soirées improbables, je vais là ou mon Âme me souffle qu'il y a quelque chose à apprendre pour moi. J'y rencontre des gens que je ne regarderais pas dans la rue ou dans les milieux professionnels autrement qu’au travers d’un filtre neutre au mieux correct et respectueux. Mais en aucun cas je ne me risquerai à dévoiler mes aspirations ni mes appels que je narre par ces mots couchés. (Ose être totalement toi-même… me souffle mon Âme).

Et pourtant je nous vois tous et toutes assis sur des chaises dans un lieu Parisien improbable, réunis là pour une soirée sur la spiritualité dans le sexe (mais qu’importe le sujet!) il y a là un acteur de théâtre, des groupies de Gourou, une animatrice un rien dominatrice et un Gourou fatigué, usé par trente années de recherches dans le domaine de la spiritualité. L'un de ces êtres que j'appelle «les anciens» il est l'un de ceux et celles qui ont bravé leur époque, pris tous les risques pour répondre à un appel intérieur plus puissant que toutes les conventions sociales ancrés et défricher les lieux que je foule aujourd'hui. (Respectueux, sois... me souffle mon Âme).

Certains finissent leur bière ou un sandwich en attendant le début de cette soirée.

On est entre la réunion d’un club de rencontres, la réunion familiale coincée, le club échangiste, etc, etc….. (Et là mon Âme rigole, elle, elle sait tout cela).

Le truc à retenir qui me revient encore au visage est que tous et toutes ne désirent qu’une chose.

Chacun, chacune dans sa particularité d’incarné aspire à connaitre quelque-chose qui le fasse s’épanouir et le rende beau et belle dans cette vie-ci.

Alors il me vient l’idée de regarder les gens tout autour de moi autrement qu’avec mon mental baratineur & persifleur.

Je regarde maintenant avec les yeux de mon cœur, ce choix fait mon mental me laisse tranquille et je déploie mes ailes, et mes yeux s’illuminent d’or et de lumière, enfin je capte certaines énergies émanant des personnes réunis ici. Il y a dans l’air des vibrations comme des attentes de bonheur, des désirs de plaire, de séduire, de capter les énergies du Gourou, de rencontrer (enfin) quelqu’un!!!!

Finalement chacun et chacune au travers de ses propres filtres ne recherche qu’une chose l’amour.

Soit la base de notre spiritualité si je comprends bien la leçon présente.

Qu’on le colore avec ces peurs ou ses croyances ou qu’on le part d’atours il n’y a que l’amour qui porte les gens à se dépasser et à aller de l’avant. (Respire… Tu vis, ne respire plus… Tu mourras, tu vois c’est simple, mais pour te réaliser pleinement respire en conscience, c’est important, et chantes, et danses ta vie, voilà ce que me souffle mon Âme).

Le désir d’amour nous pousse à écrire notre vie à chaque respiration, et moi je ressens tout cela et je suis ému, bêtement ému de croiser des gens «ordinaires» qui me touchent dans leurs désirs d’humains. Pour beaucoup leurs Âmes ne leur a pas encore révélé le sens réel de leur vie et ils tâtonnent en des lieux Parisiens improbables et ce scénario se répète ailleurs…encore et encore…

(je souris et mon Âme aussi...).

Je suis bien, je me sens être maladroit mais juste en mon cœur et j’ose dire, j’aime quand l’occasion se présente. Il me faut accepter de créer ma vie à chaque instant au-delà de la routine quotidienne. C’est ce que j’ai fait en cette soirée Parisienne improbable, et c'est ce que j'ai vécu hier soir en marchant dans le froid parisien, j’en ai ressenti un vif bonheur, l’impression d’écrire ma vie avec une belle plume d’oie trempée dans un encrier d’encre violette…

Les doigts sur le clavier virevoltent et mon cœur vibre, je suis au boulot à rédiger ce billet au lieu de m'étourdir à une quelconque tache insipide, mais voilà j’écoute l’appel de mon Âme et écris ici et maintenant mon ressenti.

(Voilà, c’est bien me souffle mon Âme).

Les tribulations continuent et j’avance sur mon chemin d'éveil.

Je nous aime bien.

Amour et joie en nos cœurs,

Philippe

Les tribulations d’un éveillé 14

Bonsoir mes très chers cœurs lumineux.

Je suis dans le métro parisien en ce soir frileux avec ma Louve, nous croisons un groupe joyeux qui vient du même endroit que nous. Nous nous saluons et nous disons à tout de suite dans nos vaisseaux intersidéraux... Le temps n'a plus de prise après cette soirée de méditation et de travail sur la mémoire cellulaire nous blaguons comme des gamins, et cela dure encore dans la rame de métro ou il me prend de narrer à ma Louve cette vision que je vous livre :

Tu sais lui-dis je à cette soirée j'ai vu une inconnue qui en deux secondes m'a reconnectée à un sentiment puissant de connaissance, connaissance de cette personne non pas comme elle se présentait à moi mais dans ces yeux j'ai reconnecté une Âme sœur avec qui j'ai eu l'impression de reprendre un dialogue mit sur «pause» quelques centaines d'années auparavant...

On aurait pu se dire des trucs comme ceci:

Tiens mon cher ami d'où viens-tu comme cela?

Ho tu sais j'ai trainé un peu du côté d'Arcturius....

Ha pas mal moi j'ai eu encore des problèmes avec mon vaisseau sur Vega, il faudra bien un de ces quatre que je le remplace...

Moi c'est fait depuis peu je suis passé au tout énergie plus un gramme de matière, il est mue par ma pensée associée à des cristaux...

Whouaa trop fort!!!!

Tout cela pour vous dire que mes rencontres semblent s'enrichir avec des humains qui avancent comme je le fais sur des chemins parallèles au mien.

La soirée était axée principalement à un travail de groupe sur la libération des mémoires cellulaires afin d'être en mesure de recevoir un ré-encodage.

Shamanahe Elisa m'avait demandé d'être un «pilier». Pour avoir assisté par deux fois à ses soirées j'avais pu comprendre que nous étions frère et sœur des étoiles. Elle me l'a clairement dit alors que je me posais encore des questions... Et donc me voilà promu au rang d'officiant «pilier» à ses côtés ceci afin de l'aider tout le temps qu'elle connecte les êtres de Lumière durant la soirée en la maintenant à Gaïa notre Terre.

Voilà une belle expérience que je ne m'attendais pas à vivre...

Je capte les énergies et j'apprends à les ressentir de différentes façons mais pour moi cela est de l'ordre de l'intuitif je n'ai rien trouvé dans les bouquins qui correspondent réellement à ma façon de percevoir les énergies. Ce soir là aux côtés d'Élisa j'ai donc ressentis des Énergies que je ne connaissais pas, tout en ayant la sensation extrême que des forces intra-terrestres m'aidait à être totalement enraciné.

C'était un travail en groupe ou j'ai ressenti l'amour immense de Gaïa et perçu en son centre un immense diamant. Et des énergies changeantes et des présences énergétiques puissantes comme descendues sur nos épaules.

Il y a eu beaucoup d'échanges entre les participants c'était comme une journée de travail ordinaire en Atlantide, quel souvenir....!

A un moment donné la grâce est descendue sur nous beaucoup l'ont ressentis pour ma part elle était symbolisée en la Vierge Marie, des ondes lumineuses bleues et blanches et un amour …...de paix véritablement différent des autres énergies ressenties auparavant.

Un jour j'aurai les bons mots pour vous expliquer ce qui agite le bout de mes doigts sur ce clavier et ce qui boue sous mon crâne.

Un jour cela sera limpide et vibrant réellement pour chacun et chacune.

Ainsi mon amour et tout le plaisir que j'ai à narrer mes tribulations de jeune éveillé sera pleinement et vibratoirement perçu par tous... Mon Âme de dit ceci :

«C'est tout le bien que te souhaite mon bel aimé...»

Et moi je nous aime.

Amour et joie en nos cœurs,

Philippe